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 – Article mis à jour le 8 mai 2018 – 

Je viens de raccrocher le téléphone, et je suis encore sous le choc.

J’étais en ligne avec Marie-Luce, la belle-sœur de mon propre père.

Je la connais depuis toujours, mais cela faisait 10 ans qu’on ne s’était pas parlé.

La vie est comme ça : il y a des tantes dont vous êtes très proche, d’autres moins, par la force des choses ou par l’éloignement géographique.

Mais par une heureuse coïncidence, en ce mois d’août 2017, la vie nous a rapproché.

Nous avions tous les deux besoin de recontacter l’autre, au même moment :

  • Elle, parce qu’elle venait de subir un problème de santé qui l’a poussé à me demander conseil (elle est une fidèle lectrice de mes lettres) ;
  • Moi, parce que je voulais absolument en savoir plus sur son activité de thérapeute énergéticienne.   

Oui, Marie-Luce fait des soins énergétiques depuis longtemps.

Formée à la sophrologie (qui s’appuie sur la respiration), puis à l’EMDR (une technique anti-traumatismes popularisée en France par David Servan-Schreiber), elle est devenue enseignante de Reiki, et se forme en ce moment même au chamanisme et au magnétisme.

Je vais être honnête : autant je suis convaincu de longue date des effets merveilleux de la sophrologie et de l’EMDR…

…autant les soins de « guérisseurs » et « chamans » par la « pensée ou « l’énergie des mains », m’ont longtemps paru difficile à croire, pour ne pas dire farfelus.

Mais ça, c’était avant.

C’était avant que je me plonge corps et âme dans l’univers fascinant de la médecine énergétique.

Plus je lis des travaux scientifiques, plus je recueille des témoignages, plus je suis convaincu qu’il y a quelque chose d’important à en retirer.

Et aujourd’hui, je voudrais partager avec vous un cas révélateur de guérison quasi-miraculeuse.

J’ai lu beaucoup d’histoires du même type dans des livres ou dans la presse… mais cette histoire là, je la tiens de source sûre et directe : ma tante Marie-Luce.

Un cancer des ovaires métastasé dans le ventre

C’était il y a presque 15 ans.

Marie-Luce reçoit dans son cabinet de consultation une femme d’une soixantaine d’année, nommée Cécile.

Cette femme vient voir Marie-Luce car elle a un cancer des ovaires, et on vient de découvrir de nombreuses tâches sombres dans l’abdomen.

Le pronostic des médecins n’est pas bon. Et Cécile est « prête à tout » pour améliorer ses chances de guérison.

Elle a entendu parler de Marie-Luce par des amies et a décidé de « tenter sa chance ».

La consultation commence par un échange sur la vie de Cécile, à la recherche d’un « blocage » émotionnel ou énergétique.

Rien, dans sa vie actuelle, ne semble « ressortir ».

Mais tout à coup, alors que Marie-Luce lui demande si elle a souffert de traumatismes anciens, Cécile fond en larmes.

Brutalement, cela lui est revenu, comme un coup de poing dans le ventre.

Cécile a subi une grossesse non désirée à l’âge de 20 ans. Dans le secret, seulement avec celui qui deviendra son mari, elle a décidé de l’interrompre médicalement – mais elle a très mal vécu l’opération.

Elle en conserve une immense culpabilité.

Et comme elle n’en a jamais parlé, elle a gardé en elle ce traumatisme, comme un immense fardeau.

Elle n’y pensait plus, mais c’était encore là, quelque part dans son corps et son esprit.

Se souvenir et en parler à Marie-Luce a déclenché ce choc et ces larmes.

Mais c’était aussi l’occasion ou jamais de s’en « débarrasser ».

Le chirurgien n’en n’est pas revenu

Alors ma tante Marie-Luce a fait avec elle de l’EMDR, et lui a proposé un rituel traditionnel visant à surmonter un traumatisme émotionnel.

La technique lui paraît « étrange », mais Cécile est prête à tout et se lance avec tout son cœur.

Et quelques jours plus tard, elle se sent considérablement apaisée et en remercie Marie-Luce.

Elle est plus sereine pour affronter l’opération chirurgicale.

Cette opération, prévue de longue date, devait avoir lieu 15 jours exactement après sa consultation avec Marie-Luce.

La suite, je vous la raconte avec les propres mots de ma tante :

« J’étais dans mon cabinet, en consultation, quand j’entends Cécile à la porte qui demande à me voir en urgence.

Je suis inquiète, car je savais que son opération venait d’avoir lieu.

Lorsque je lui ouvre, elle se précipite vers moi me dit : ‘Le chirurgien qui m’a ouvert le ventre n’a rien trouvé, toutes les métastases avaient disparues !’ »

Cécile était sauvée, tirée d’affaire.

Elle n’avait plus le cancer, tout simplement.

Le cancérologue le lui a confirmé 3 semaines plus tard, même s’il a maintenu 3 mois de chimiothérapie, « pour être sûr ».

Que pensez-vous de cette histoire ?

Cette histoire exceptionnelle, je l’ai partagée avec vous car j’aimerais vraiment que vous me disiez ce que vous en pensez.

Avez-vous déjà eu connaissance directement de ce genre de guérison miraculeuse (si oui, racontez-la moi, en commentaire de cet article) ?

Pensez-vous que la puissance de la pensée puisse réussir à vaincre une maladie aussi grave et installée qu’un cancer métastasé ?

De mon côté, vous connaissez mon esprit scientifique : je sais parfaitement qu’un cas particulier ne « prouve » rien.

Mais en même temps, je suis convaincu que cette histoire nous enseigne quelque chose.

Le cas de Cécile nous dit quelque chose sur l’origine émotionnelle de certains cancers.

Je suis à l’aise pour le dire car c’est reconnu par les cancérologues les plus conventionnels, comme le Pr. David Khayat :

« Pendant de nombreuses années, je dois le reconnaître, j’ai été assez réfractaire à l’idée que le stress, le malheur, la tristesse puissent être à l’origine du cancer. Mais aujourd’hui, j’ai changé d’avis ».

Mais l’histoire de Cécile nous montre aussi la force de la pensée, du travail émotionnel ou énergétique pour inverser le cancer, et même aider à guérir !

Attention : jamais je ne vous dirai qu’il s’agit d’une « méthode miracle ».

Elle ne marche pas pour tout le monde, pas tout le temps, et ne doit surtout pas vous empêcher de suivre vos traitements.

Mais en accompagnement des soins médicaux, ne pensez-vous pas que l’approche énergétique et/ou émotionnelle soit un vrai « plus », sans danger et potentiellement salvateur ?

Et en prévention, ne croyez-vous pas qu’il est crucial de ne pas attendre le cancer ou d’autres maladies pour se libérer des blocages qui peuvent nous entraver ?  

Donnez-moi votre opinion, s’il vous plaît.

Ce n’est pas un sujet facile, et plus nous serons nombreux à cogiter ensemble, plus nous nous enrichirons mutuellement.

5 958 commentaires

  • Descharmes dit :

    C’est connu que les périodes de stress ou de vécu traumatisantes, sont sujets à complications graves de la santé.

  • Viciano dit :

    Et oui des chocs émotionnels peuvent engendrer des pathologies plus ou moins graves et dans les faits, les soins énergiques apportent soulagement et apaisement, diminuent les effets secondaires de certains médicaments et traitement lourd, rééquilibre notre propre énergie.. Au pire, cela ne fait rien, aucun danger d’y avoir recourt surtout quand on se sent démuni et à court d’autres remèdes. C’est une alternative possible pour soulager ses propres maux et désordres intérieurs…

  • Cybak dit :

    C’est une très belle histoire dont je n’ai aucun doute sur véracité.
    Moi même je pratique un certain nombre d’activités liées avec les énergies, l’hypnose, l’auto hypnose ainsi que différentes sortes de méditations

  • Gérard dit :

    Pas de cas concret à décrire.
    Seulement des « échos » de net mieux être, voire de guérison (mais qu’est ce la guérison ?), hors allopathie et par des soins holistiques et spirituels.
    Pour dire ma conviction profonde que, non pas la puissance de la pensée de mon point de vue, mais la foi (complètement hors champ religieux) en une appartenance à un grand Tout inexpliqué, et sans doute inexplicable, peut amener à des guérisons qualifiées de miraculeuses.
    A ce titre je me permets de faire référence à un livre de Antoine Sénanque (pseudo d’un neurologue) e cerveau m’a beaucoup déçu. L’esprit, non ». Qui ne cherche pas à prouver, mais relate simplement et met en évidence la puissance de l’esprit comme faisant partie de ce grand Tout.
    Gérard

  • Patrick Cormier dit :

    En tant qu’adepte de la méditation et du chamanisme taoïste depuis 1977, j’adhère sans réserves à vos hypothèses.

  • Joelle Ravanello dit :

    Bonjour,
    Je suis atteinte de sclérose en plaques depuis 13 ans et je sais d’où ça vient (un viol à l’âge de 5 ans, un grand-père pédophile,…). Je n’ai pu en parler que lorsque ma fille aînée a eu 14 ans mais on m’a demandé de me taire.Je n’ai jamais su dire non, j’ai toujours douté de moi,…
    Depuis 2 mois, j’ai reçu une initiation au reiki. Depuis, j’ai trouvé une paix intérieure et une certaine sérénité. Je continue mes auto-traitements quotidiens, mes mains chauffent quand je pose mes mains sur mon corps et je sens l’énergie qui remue dans mon corps à ces moments là.
    Que pensez-vous de ceux qui passent le brûle à l’hôpital de Grenoble, notamment sur les bébés brûlés qui s’arrêtent de pleurer quand on met le téléphone à côté d’eux?

  • Anonyme dit :

    Moi je crois beaucoup que le corps peu s’autoguerir en favorisant sa propre énergie et de. Son cerveau

  • Cerf Jeanne dit :

    Je suis tout à fait persuadée de la force de pensée , et en autres choses , de son effet sur le corps . Je suis spirite et j’ai connaissance de l’implication de cette force de pensée. Dommage que le les scientifiques ne se penchent pas à fond sur cette merveille que l’homme possède .
    D’autre part j’ai été soignée plusieurs fois par magnétisme avec beaucoup de succès .
    Quant aux soins par les plantes , il n’y a pas que leurs propriétés « matérielles «  qui sont efficaces pour la guérison , mais leurs forces vibratoires. ( tout dans l’univers est vibration , donc les humains aussi , et quand le
    mode vibratoire est déréglé : c’est la maladie, et quoi de mieux pour régler le problème, que des solutions pour rééquilibrer le système ? Des cas de guérisons « miraculeuses » ce n’est pas ce qui manque dans le monde .

  • Jean-Pierre MORELLE dit :

    Dans le cas de Cécile, le médecin lui a quand même prescrit 3 mois de chimiothérapie « au cas où ». Je pense que c’est inutile et idiot. J’ai connu le cas d’une dame juste à la moitié de sa vie (42 ans) qui s’était fait un cancer de l’utérus rapide et violent (j’en ai connu d’autres comme ça toujours pour le même type de cause). Pas de métastases (pas le temps). Traitement classique: ablation-radiothérapie (!)-chimiothérapie. Forte de caractère, apparemment guérie mais épuisée, on m’avait proposé de la prendre en pension dans mon équipe à mi-temps thérapeutique, où je l’ai gardée six mois. Une semaine sur trois, on ne la voyait pas, elle était sous perfusion à l’hôpital, ce qui l’épuisait encore plus. On l’avait persuadée d’accepter 12 séances de chimio « de précaution » alors qu’elle n’avait plus aucun symptôme de maladie! J’ai essayé en vain de l’orienter plutôt vers d’autres médecins avec des traitements positifs d’accompagnement pour recouvrer la santé et qui pouvaient l’aider à se prendre en charge et à se poser des question sur les causes de son mal, au-delà du physique. Après la 4e séance de chimio, son corps a réagi violemment avec une éruption de boutons sur tout le corps, comme de l’urticaire. A l’hôpital, on n’a rien compris, on ne lui a donné aucune explication, on a simplement arrêté le traitement. Elle était désemparée, j’ai pu alors lui suggérer que son corps lui envoyait un signal fort en exprimant qu’il refusait de continuer qu’on l’empoisonne et qu’il avait assez d’énergie pour soutenir une démarche volontaire de retour à l’état dynamique et joyeux qui la caractérisait auparavant. Le changement a été rapide et jusqu’à 75 ans aujourd’hui, cette personne n’a plus jamais été malade de quoi que ce soit.

  • francoise gendron dit :

    je trouve cela formidable et en plus j y crois fortement

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