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 – Article mis à jour le 14 mai 2018 – 

Etes-vous prêt à lire quelque chose de proprement RENVERSANT ?

Ce n’est pas encore prouvé scientifiquement…

…mais là, je crois avoir mis le doigt sur la troisième révolution médicale.

Les deux premières révolutions médicales… balayées ?

La 1ère révolution a été lancée par la découverte des antibiotiques dans les années 1930.

C’était la révolution pharmacologique : grâce à la chimie de synthèse, on a compris comment interférer avec la plupart des réactions normales du corps humain.

Vous avez un risque d’infarctus ? On empêche le sang de faire des caillots. Vous avez des douleurs d’arthrose ? On empêche le corps de produire de l’inflammation.

En cas d’urgence, ce genre de remède brutal peut sauver des vies.

Mais à long terme, empêcher votre corps de fonctionner « normalement » est presque toujours catastrophique.

D’où l’impact formidable de la deuxième révolution scientifique : la révolution phyto-nutritionnelle.

Cette révolution était en germe dans les médecines traditionnelles et naturelles.

Mais depuis les années 1990, on assiste à un véritable « boom » scientifique : des milliers d’études prouvent l’efficacité des plantes médicinales et des micro-nutriments pour guérir.

Cette fois, on n’interfère pas avec l’organisme… au contraire, on donne au corps des molécules qui l’aident à s’auto-guérir !

Comme la vitamine D, qui régule plus de 300 réactions métaboliques dans le corps. Comme la plante Chardon-Marie, qui aide votre foie à se régénérer. Ou les probiotiques, ces bonnes bactéries qui nourrissent votre flore intestinale et vous protègent de dizaines de maladies.

C’est de cette révolution dont je vous parle constamment, dans mes lettres et la revue Santé Corps Esprit.

Mais aujourd’hui, je voudrais vous parler d’une troisième révolution qui s’annonce.

Cette révolution ne fonctionne pas du tout comme les autres

Je prends des risques, car contrairement à la révolution des plantes et des nutriments, elle est encore très peu étudiée scientifiquement.

Mais ce que j’ai lu et compris à ce jour est trop important pour que je ne vous en parle pas.

Je ne peux pas le garder pour moi.

Il est possible que nous soyons à l’aube d’une nouvelle médecine :

  • sans la moindre molécule à ingérer ;
  • sans la moindre chirurgie ;
  • sans effet secondaire ;
  • et avec des effets potentiellement miraculeux.

Cette révolution, si elle se confirme, aura bientôt ses grands « héros ».

Sir Alexander Fleming est connu dans le monde entier pour avoir découvert la pénicilline.

En France, on admire le Dr Jean Seignalet, qui a compris dès les années 1970 que l’alimentation était une nouvelle médecine.

Et dans quelques dizaines d’années, je pense qu’on parlera de cette femme, Caroly McMackin :

Elle est encore totalement inconnue du grand public.

Elle n’est même pas médecin.

Mais je pense que dans 50 ans, on réalisera qu’elle a changé le cours de la médecine pour toujours.

Comment tout a commencé

Carolyn McMakin a raconté son histoire dans un livre sidérant intitulé The Resonance effect.

Cette Américaine a toujours rêvé de soigner des gens.

Son premier job a été celui de « visiteur médical ». Elle rencontrait des médecins pour leur présenter les nouveaux médicaments mis sur le marché.

(Avouez que c’est ironique, quand on pense que la découverte de cette femme pourrait supprimer le recours à 80 % des médicaments).

Puis, à 42 ans, et 2 enfants, elle a repris ses études pour devenir chiropraticienne.

Les chiropracteurs sont souvent comparés aux ostéopathes. Mais en Oregon, là où Carolyn a obtenu son diplôme, ce sont des quasi-médecins.

Ils peuvent prescrire des tests sanguins, des radios et des IRM. Ils peuvent aussi faire des interventions chirurgicales mineures ou des examens de la prostate. Bref, ils peuvent tout faire… sauf prescrire des médicaments.

En 1995, elle ouvre son propre cabinet, et commence à recevoir des patients.

C’est alors qu’un de ses collègues lui fait un cadeau très particulier.

Il lui offre une machine bizarre, produite à partir d’un modèle datant de… 1922 !

Une machine très ancienne… avec un mystérieux « mode d’emploi »

C’était l’époque où la médecine « électro-magnétique » faisait fureur.

Au début du 20ème siècle, des milliers de thérapeutes traitaient leurs patients avec des thérapies « électriques » ou « magnétiques ».

Dans le lot, malheureusement, il y avait beaucoup de charlatans.

Alors les autorités américaines ont décidé d’éliminer totalement cette médecine naissante.

Heureusement, une de ces machines a survécu… et a fini par tomber dans les bras de la bonne personne, Carolyn McMackin.

Le fonctionnement de cette machine n’a rien de mystérieux d’un point de vue scientifique : elle envoie des micro-courants électriques dans le corps.

Ces courants sont tellement faibles (quelques micro-ampères) que vous ne pouvez pas les « ressentir ».

Mais ces micro-courants semblent agir au niveau de vos cellules… à condition de choisir la bonne fréquence (entre 1 et 500 Hertz) !

Justement, cette machine était accompagnée d’un « mode d’emploi ».

Personne ne sait comment ce mode d’emploi a été réalisé. Probablement par des milliers « d’essais et erreurs » de thérapeutes du début du 20ème siècle.

Il s’agit d’une longue liste de fréquences :

  • celles pour soigner des parties du corps humain (62 Hz pour les artères, 22 Hz pour l’intestin par exemple)
  • et celles pour soigner des pathologies (9 Hz pour les allergies, 40 Hz pour l’inflammation, etc.).

La machine est composée de 2 canaux : le canal A vise la pathologie, et le canal B vise la partie du corps à soigner.

Pour soigner une inflammation de l’intestin, par exemple, il faut régler le canal A sur 40 Hz (inflammation) et le canal B sur 22 Hz (l’intestin).

C’est aussi simple que ça.

Je sais que cela paraît dingue. Moi-même, au départ, je n’y croyais pas une seconde.

Et pourtant… ça marche !

Un succès inouï contre les douleurs chroniques !

Dès que Carolyn applique la bonne paire de fréquences, le corps de ses patients réagit immédiatement :

En quelques secondes, le tissu musculaire qui était dur, tendu, ferme, rigide, « noueux », se détend brutalement.

D’un coup, le corps devient chaud et « gélatiniforme », comme du pudding dans un sac plastique !

Et lorsque ce phénomène étrange se produit, ce sont des années de douleurs chroniques qui s’envolent !

Contre les douleurs musculaires, Carolyn commence à obtenir des résultats ahurissants… et elle en est la première surprise !

Très vite, avec le bouche à oreille, elle devient très connue dans sa région.

Un chirurgien, le Dr Puziss, ébahi de ses résultats, commence à lui envoyer tous ses patients « en échec » : ceux qu’il a opérés de l’épaule, de la hanche ou du genou, qui ont du mal à s’en remettre, ou qui ont toujours aussi mal qu’avant.

Dans la plupart des cas, ces patients ressortent du cabinet de Carolyn totalement guéris et sans la moindre douleur, en quelques séances.

La machine qui pourrait révolutionner la médecine (avec les gants en graphite permettant d’appliquer les micro-courants sur le corps)

En 1997, Carolyn a analysé le dossier de 150 de ses patients victimes de douleurs musculaires sévères :

  • Ils avaient en moyenne 7 ans de douleurs chroniques,
  • 88 % avaient déjà vu de nombreux thérapeutes,
  • et leur douleur moyenne était de 6,8 sur 10.

Bref, ils avaient très mal, et depuis très longtemps.

Mais après 11 séances avec elle, sur 2 mois, leur douleur moyenne était passée à 1,5 sur 10 !

Evanouie, la douleur !

Carolyn se met alors à traiter toutes les douleurs, y compris les douleurs du dos (lombalgies), avec un succès déroutant.

Mais elle ne s’arrête pas là.

Elle guérit même une maladie « incurable » !

En décembre 1999, une femme de 45 ans vient la voir.

Elle souffrait de fibromyalgie, une maladie qui fait terriblement souffrir, 24h sur 24.

Sa douleur était de 8 sur 10, de la tête aux pieds.

Cela faisait 18 ans qu’elle était dans cet état, à la suite d’un terrible accident de voiture.

Cette patiente avait fini par devoir abandonner son travail, faute d’énergie. Elle pouvait à peine faire le ménage chez elle, tant elle souffrait.

Ce traitement « très particulier » était donc son dernier espoir.

Carolyn a alors réglé le canal A sur la fréquence 40 (inflammation) et le canal B sur la fréquence 10 (moelle épinière).

Au bout d’une heure de traitement, Carolyn lui demanda son niveau de douleur.

La patiente était en état de choc : « zéro », répondit-elle.

Elle n’avait plus mal, nulle part.

Toutefois, deux jours plus tard, sa douleur est revenue. Mais elle était désormais à 6, plutôt que 8.

En 60 minutes de traitement, la douleur est à nouveau retombée à zéro.

Et en trois mois, Carolyn était totalement guérie… d’une maladie dite « incurable » par la médecine moderne ! Elle avait retrouvé sa vie normale.

Evidemment, elle passa le mot à son association de malades et à son médecin… et Carolyn reçut de nombreuses victimes de fibromyalgie.

En 2005, elle publia une étude hallucinante : sur 54 patients consécutifs avec diagnostic confirmé de fibromyalgie, 49 ont rapporté une réduction de la douleur de 7,3 en moyenne à 1,3 !

C’est un taux de succès total de 90 %1 !! Pour une maladie incurable, je le répète !

Asthme, diabète, zona…

Et Carolyn ne s’est pas arrêtée en si bon chemin.

Elle a obtenu également des résultats époustouflants sur d’autres pathologies :

  • L’asthme chronique: certains de ses patients ont été guéris en quelques mois – un miracle « impossible » d’après les données médicales actuelles ;
  • Le zona: là où des « anti-viraux » hors de prix mettent 6 semaines avant d’agir, Carolyn effaçait la douleur en deux heures, et guérissait les patients en une seule séance ;
  • Maladie de Crohn: en réglant la machine sur les fréquences de l’allergie et de l’inflammation, et celle de l’intestin, des centaines de malades ont été guéris((Voir aussi ce témoignage : A CASE STUDY SUBMITTED BY CAROLYN MCMAKIN, DC)).

Et Carolyn a aussi traité avec succès des blessures de diabétiques, qui ne guérissaient pas !

Les résultats ne dépendent pas de Carolyn

Si ces résultats étaient limités au cabinet de Carolyn McMackin, ce serait suspect.

Mais la machine produit les mêmes résultats avec d’autres thérapeutes !

Depuis 15 ans, Carolyn s’est appliquée à former des centaines de thérapeutes, qui utilisent la même technique… avec les mêmes effets !

Par exemple, une dentiste, le Dr Mary Ellen, s’est mise à utiliser cette machine avec ses patients.

Elle s’est rendu compte que l’utilisation des 40 Hz contre l’inflammation pouvait révéler des infections cachées… ce qui permettait de les traiter et de guérir ses patients en profondeur !

En 2014, le Dr Ellen a même officiellement déposé un brevet pour protéger l’utilisation de la fameuse machine en dentisterie !

OK, mais comment ça marche ???

Le seul « hic », c’est qu’on ne sait pas pourquoi ni comment cela fonctionne.

On sait que les micro-courants peuvent augmenter la production d’énergie dans la cellule2.

Et il semble que chaque organe, chaque tissu vibre à une certaine fréquence, avec laquelle l’appareil entre en « résonance », un peu comme le diapason d’un orchestre avec la corde d’un violon.

Je vous en reparlerai, car c’est un domaine fascinant, et porteur d’immenses espoirs.

Selon Carolyn McMackin elle-même, il faudra des dizaines d’années avant qu’on ne comprenne précisément le mécanisme physiologique.

En attendant, son expérience clinique me suffit.

Evidemment, je serais plus « rassuré » avec des études contrôlées, contre placebo, impliquant des milliers de malades.

Mais son expérience est tangible, hyper crédible.

Et surtout, il me paraît fou de balayer un traitement miraculeux d’un revers de main… simplement parce qu’on ne sait pas comment il agit.

C’est pourtant ce que notre médecine moderne persiste à faire avec de nombreux traitements électro-magnétiques extrêmement prometteurs.

PS : A vous la parole, chers amis ! Que pensez-vous des soins « électro-magnétiques » ?

Avez-vous déjà essayé ? Pensez-vous que cela puisse fonctionner ?

Merci de me le dire en commentaire de cet article, nous serons plus fort ensemble !

  1. Cytokine changes with microcurrent treatment of fibromyalgia associated with cervical spine trauma. Carolyn. R.McMakin, Walter.M.Gregory, Terry M.Phillips. https://doi.org/10.1016/j.jbmt.2004.12.003 []
  2. The effects of electric currents on ATP generation, protein synthesis, and membrane transport of rat skin. Cheng N, Van Hoof H, Bockx E, Hoogmartens MJ, Mulier JC, De Dijcker FJ, Sansen WM, De Loecker W. Clin Orthop Relat Res. 1982 Nov-Dec;(171):264-72. []

983 commentaires

  • Alain Boutin dit :

    Lakhowsky, paul Schmidt, Priore et tous les chercheurs russes ( les pays de l’est encourage les recherches sur les thérapies de toutes origines ) nous montrent que l’étendue des possibilités est immense pour permettre à notre corps de se réparer.
    Beaucoup de médecins en France sont ouverts à ses possibilités qui combinées avec la médecine pharmacologique grâce à leurs connaissances, feraient avancer la médecine. Mais ils ne peuvent pas l’exprimer ouvertement.
    La première chose à faire pour avancer est de supprimer le conseil de l’ordre, cette institution du gouvernement de Vichy qui est maintenant la première arme de l’industrie pharmaceutique pour museler les vrais médecins et transformer le serment d’Hippocrate en serment d’hypocrite. Rappelons que pour les fautes professionnelles, les médecins sont comme tout le monde jugés par la justice française.
    Pour les maladies psychosomatiques comme la fibromyalgie, L’hypnose et la géobiophysique donnent des bons résultats en guérissant les chocs émotionnels.
    Gardons l’esprit ouvert, il y a encore du bon dans ce monde.
    Alain

  • Rigole dit :

    La lecture de votre article est intéressante et convaincante ?
    Pourriez-vous nous indiquer les coordonnées de personnes qui traitent avec cet appareil ?
    De nombreuses personnnes de mon entourage sont en souffrance !

    Merci

  • gatimel dit :

    comment acheter cet appareil ou pouvoir trouver un médecin ou autre l’utilisant; merci d’avance.

  • Vanriette dit :

    Docteur,
    Ma fille souffre de fibromyalgie et sa vie devient un enfer.
    Où pourrait-elle aller pour se faire soigner en réglant le magnétisme ?
    Si ce n’est pas possible, que peut-elle faire ?
    Merci de me répondre

  • guinot dit :

    bonjour
    j ai connu un thérapeute qui utilisait une machine de sa fabrication qui envoyait des fréquences sur ses patients (il effectuait un réglage suivant la maladie a traiter)malheureusement il n est plus la .il avait de bons résultats.
    est il possible de se procurer ce type de machine en France et de suivre une formation?
    vos mails sur le projet e me fascine et sont très intéressants
    merci pour vos recherches et vos mails sur ce sujet

  • Lamy dit :

    J’ai des douleurs chroniques (sciatalgie) d’origine musculo squelettique et neuropathique depuis 12 ans et ne peux en venir à bout malgré d’innombrables tentatives en médecine classique et alternative. J’aurais vraiment souhaité essayer cette technique. Pouvez vous me dire vers quel praticien je peux me tourner (j’habite à Lyon dans le Rhône) ? Merci d’avance.

  • Jacques HENRI dit :

    Objet : Thérapie du futur, guérir avec l’effet résonnance

    Il n’y a pas qu’aux USA que les industries pharmaco-chimistes et leurs soutiens, s’arrangent pour faire barrage, sous toutes ses formes, à l’innovation alternative qui dérange.
    Imaginer qu’une solution non conventionnelle ait sa place dans l’arsenal thérapeutique français relève du rêve éveillé.

    En 2006, j’ai créé la thérapie vibratoire qui utilise de très hautes fréquences. Les plus élevées s’expriment en TERAHERTZ.
    Pourquoi des hautes ? Parce que les basses donnaient des résultats peu durables et ne permettaient pas de traiter toutes les pathologies.
    Ma technique consiste à faire porter au patient un patch émetteur de rayons β (le même type de fréquences que nos téléphones portables, mais avec une puissance 10 000 000 000 fois plus faible). Elle permet de traiter curativement toutes les maladies, cancers, SEP, etc, même la trisomie 21 si traitée in utero dès le troisième mois de gestation.

    Les cahiers Sciences & Médecine du journal le MONDE, qui est pro-médecine chimique, me refusent toute publication concernant la thérapie vibratoire.

    Ci- après le texte de 2016 que les cahiers Science & Médecine du MONDE n’ont pas accepté de publier, et qui décrit en détail en quoi cela consiste :
    ________________________________________________________________________________________________

    CETTE MEDECINE ARCBOUTEE SUR SES HABITUDES, QUI REFUSE DE S’INTERESSER A UNE SOLUTION NON CONVENTIONNELLE, ALORS QUE CELLE-CI NE PRESENTE AUCUNE TOXICITE, ET CONCERNE TOUTES LES PATHOLOGIES.
    En priorité, une alternative aux solutions actuelles insatisfaisantes et/ou inabordables par leur prix, et la solution pour les pathologies orphelines.

    TRIBUNE – L’incapacité de la Médecine à résoudre correctement tous nos problèmes de santé serait-elle voulue ? Si non, comment expliquer que des individus, médecins ou pas, y parviennent très bien en utilisant les technologies les plus avancées, sans bénéficier des financements de la recherche médicale ?

    Madame POUTERMANN, 60 ans, souffre d’incontinence urinaire. L’examen clinique n’a décelé aucune anomalie. La solution médicale qui lui a été proposée : porter des couches.
    L’incontinence urinaire de Madame POUTERMANN est probablement due à un dysfonctionnement neurologique engendré par l’usure du disque en les vertèbres dorsales 8 et 9. Cette incontinence serait donc jugulée par la restauration de ce disque, mais la Médecine ne s’intéresse ni à la cause, ni à la solution “simple“ de restauration de ce disque. Celle-ci existe, sans qu’il soit nécessaire de procéder à l’apport de cellules souches.
    Monsieur SOULAGE, 40 ans, est diabétique de type 1. Sa maladie s’est révélée il y a une vingtaine d’années. Même si la technologie a bien amélioré le confort des diabétiques, Monsieur SOULAGE reste une rente pour les producteurs d’insuline et une charge pour la Sécurité Sociale. La maladie de Monsieur SOULAGE est-elle irréversible ? Non, il est toujours possible de régénérer ses îlots de Langerhans avec une thérapie peu onéreuse, pour qu’ils produisent à nouveau l’insuline dont Monsieur SOULAGE a besoin.
    Monsieur JOUVE, 56 ans, qui souffrait des ménisques d’un genou, s’est laissé convaincre pour la solution prothèse. Grand sportif, il parvient encore à pratiquer le ski, mais avec difficultés. Par contre, mais il a dû abandonner le vélo qui sollicitait trop son genou. Monsieur JOUVE aurait-il pu recouvrer intégralement les fonctions de son genou avec une autre solution ? Oui, mais pour cela, il aurait fallu restaurer ses cartilages, sans intervention chirurgicale.
    Monsieur BASSO, 62 ans, a subi l’ablation d’un adénome prostatique, consistant à redonner une dimension correcte à l’urètre. Ses mictions sont redevenues normales, mais cette intervention lui a laissé des séquelles qui se traduisent par des troubles de l’érection. Aurait-on pu traiter son problème sans intervention chirurgicale et sans qu’il ait de séquelle ? Oui.
    Madame DUNAND, 63 ans est décédée. Elle avait un cancer du sein. En fait, elle n’est pas morte de son cancer. Son organisme n’a tout simplement pas supporté la chimiothérapie à laquelle il a été soumis. Bien sûr, son certificat de décès ne fait pas état de ce “détail“.
    Après son décès, l’examen de l’appartement de Madame DUNAND a révélé que sa chambre était traversée par un flux de pollution électromagnétique important. Si Madame DUNAND en avait eu connaissance, elle aurait pu s’en préserver, et probablement éviter ce cancer.
    Pour Madame DUNAND, comme pour beaucoup d’autres, Il n’est pas étonnant que les thérapies ciblées n’aient pas donné les résultats escomptés. Un changement de logiciel médical donnerait ces résultats. Il implique que le traitement ne concerne pas la tumeur ou le cancer, mais ses causes, en préservant complètement la patiente ou le patient. Et cette solution existe.
    Les patients en attente de greffe doivent prendre conscience qu’une solution alternative à la greffe existe et qu’elle n’a pas les inconvénients de la greffe. Elle consiste en la restauration de l’organe déficient, qui doit intervenir bien avant que celui-ci ne devienne complètement inopérant, car cette restauration peut nécessiter de nombreux mois. Mais encore faut-il que cette solution soit mise en œuvre…

    On pourrait multiplier les exemples, mais ce serait sans intérêt si la surdité de la Médecine n’était ni “corrigée“, ni assortie de la curiosité de s’intéresser à des solutions innovantes, beaucoup plus avantageuses que celles pratiquées aujourd’hui.
    La solution alternative pour les pathologies ci-avant est adaptable. La même logique s’applique à toutes, mais pour chacune d’elles, de multiples paramètres permettent de personnaliser la solution pour lui conférer une action spécifique.
    Cette solution innovante permet de faire face aux pathologies ci-avant, mais aussi à toutes les autres sans limitation : un rhume, des insomnies, des helminthes, une infection, des calculs biliaires, de l’arthrose, un ligament distendu, un tendon calcifié, une cataracte, des troubles de la fertilité, etc…
    L’action de ce nouveau type de thérapie n’est pas chimique, mais vibratoire.

    L’ASSOCIATION VIBRATOIRE :
    Il ne s’agit pas d’un médicament au sens classique, mais d’une aide à apporter à l’organisme pour qu’il corrige lui-même les anomalies dont il est affecté. Dès 1890, Nikola TESLA a découvert que dans notre organisme, les échanges au niveau
    cellulaire, neuronal ou cérébral, se faisaient par ondes porteuses à propagation longitudinale. Cela explique pourquoi, certaines des pollutions électromagnétiques dans lesquelles nous vivons, peuvent perturber la gestion informatique de notre organisme, et dont les conséquences peuvent se manifester par des affections, quand il ne s’agit pas de graves maladies, qui peuvent relever aussi de nombreuses autres causes.
    A contrario, une association de vibrations appropriées peut permettre de corriger affections et maladies quelles que soient leurs causes.
    La solution consiste à faire porter au patient, un émetteur de rayons β choisis en fonction de sa pathologie. L’émetteur est un PATCH constitué d’une enveloppe souple et étanche en PVC (format en mm: 65x45x3), qui se porte de préférence contre l’épiderme du thorax.
    Il est appelé VIBRPATCH.
    Son enveloppe contient un gel supportant une association de vibrations dans la plage de 100 Kilohertz à 28 Terahertz, dont le rôle est de stimuler l’organisme, pour lui permettre, entre-autres possibilités, de réaliser une autoréparation d’un organe ou d’un tissu, quels qu’ils soient.
    Chaque vibration est caractérisée par:
    – une forme de signal, simple ou complexe,
    – une fréquence de base,
    – une amplitude,
    – une rémanence,
    – des harmoniques de la fréquence de base.
    La rémanence caractérise la durée de vie de la vibration, et l’intensité d’action de cette dernière. Plus la durée de vie est longue, plus l’intensité d’action est importante. On peut moduler la durée de vie d’une vibration, de quelques semaines à une année.
    Indépendamment de la forme du signal, de sa fréquence et de ses éventuelles harmoniques, une vibration peut être prépondérante par rapport à une autre, parce que son amplitude ou sa rémanence est plus grande. Le choix des caractéristiques des vibrations est du ressort du praticien, en fonction du tableau clinique de son patient. Le VIBRPATCH permet de traiter plusieurs pathologies simultanément. Son contenu est défini pour une durée de quelques jours à 3 mois, voire plus.
    A l’issue de cette durée, le traitement est bien-sûr terminé si la pathologie a disparu. Pour les cas sévères, il convient de réaliser une nouvelle association vibratoire, voire plusieurs consécutives, pour mener à terme le traitement. Les résultats les plus rapides sont obtenus en portant le VIBRPATCH jour et nuit. Il convient de ne pas oublier de le “remettre“ après la toilette ou la séance de Karaté. A un PATCH existant, on peut rajouter des vibrations à tout moment, et sans limitation.

    CHAMP D’APPLICATIONS :
    Il n’y a pas de restriction aux pathologies à traiter, même la trisomie 21 peut être corrigée au moins partiellement in utero, à condition d’être décelée et traitée très tôt.
    La VIBROTHERAPIE est efficace là où les antibiotiques ne le sont plus. Et, contrairement à ceux-ci, elle peut aussi traiter avec efficacité les virus, quels qu’ils soient.
    Ce type de traitement permet d’obtenir les mêmes résultats que ceux réalisés par l’apport de cellules souches. Il permet d’éviter les interventions chirurgicales avec pose de prothèse: genou, hanche, etc., et à un coût infiniment plus faible…

    LIBRE UTILISATION DU VIBRPATCH
    Si une prise en charge par la Sécurité Sociale est subordonnée à l’obtention d’une A.M.M., il semble que rien ne s’oppose à la libre utilisation du VIBRPATCH.
    Il n’est pas un médicament. Il ne transmet aucune molécule chimique à l’organisme porteur. Il n’a pas de caractère ionisant. Ses fréquences sont du même type que celles utilisées par la Radio FM, la Télévision et la Téléphonie mobile que les experts affirment sans danger pour les humains. C’est donc vrai également pour le VIBRPATCH qui représente une nano-goutte d’eau dans la mer de fréquences dans laquelle nous vivons.
    Le résultat du traitement dépendra de la compétence du praticien, à réaliser l’adéquation entre la pathologie et le contenu du PATCH.
    Dans le cadre d’un essai, charge au concepteur de suggérer gratuitement l’adéquation optimale.

    COMPATIBILITE :
    La chimie est une entrave au fonctionnement physiologique de tout organisme vivant.
    Elle est donc un frein à la capacité d’autoréparation de tout individu, voire responsable de l’altération de sa santé. Par conséquent, elle peut réduire la vitesse “d’autoréparation“ induite par la thérapie vibratoire. Donc, pour un même patient, plutôt que de traiter une pathologie avec de la chimie et une autre avec un patch vibratoire, il est préférable de traiter les deux pathologies avec un seul type de traitement, et de choisir celui qui permet d’avoir les meilleurs résultats.
    Si, après une chimiothérapie ou une immunothérapie, un cancer a résisté, ou se manifeste à nouveau et que l’on souhaite résoudre le problème avec la thérapie vibratoire, la première opération à réaliser avec le VIBRPATCH va consister à “débarrasser“ le patient, au moins partiellement, de la chimie dont il est imprégné, avant de pouvoir s’attaquer avec efficacité aux causes de son cancer.

    LES DIVERSES FAÇONS D’UTILISER LE VIBRPATCH :
    Ce patch vibratoire est façonnable à souhaits. Au même patch on peut donner un caractère palliatif pour une pathologie, et curatif pour une autre. On peut le personnaliser pour traiter la pathologie d’une personne spécifique. On peut aussi en faire un “produit“ standard pour traiter une seule pathologie quelle que soit la population concernée. Cela signifie que les possibilités de ce mode de traitement sont immenses et sans précédent dans l’univers des pathologies. Ces possibilités pourraient se révéler aussi très importantes sous l’aspect commercial…
    Exemple alternatif pour le cancer du sein :
    • personnalisé pour une patiente, le patch peut contenir 2 ou 3 spécifications vibratoires, à remplacer tous les 2 mois, donc 3 patchs en tout pour 6 mois de traitement, mais différents, chacun des patchs 1, 2 & 3 correspondant à une phase de traitement.
    • s’adressant à toute une population, le patch “standard cancer du sein“ suivrait la même démarche que le patch personnalisé, mais devrait contenir quelques dizaines de spécifications vibratoires, susceptibles de traiter tous les cas de figures. Pour une patiente de la population concernée, l’excédent vibratoire vis-à-vis de son besoin, n’aura pas d’incidence, sauf à traiter fortuitement une pathologie non ciblée. Parmi les vibrations présentes dans son patch, son organisme se servira de celles nécessaires pour procéder à la correction de la dégénérescence cellulaire, et éliminer les cellules anormales.
    Ce patch standard pourrait être disponible sur stock.
    On peut aussi imaginer que la machine à générer les patchs est dans le cabinet du praticien. Le patient quitterait alors le cabinet avec physiquement, le traitement dont il a besoin.

    LE CONCEPTEUR :
    Jacques HENRI est le concepteur de la thérapie vibratoire telle que décrite ci-avant.
    Le prototype qu’il a réalisé et qui permet la fabrication du VIBRPATCH, est opérationnel depuis 2006. Son procédé a fait l’objet d’un enregistrement à l’Institut National de la Propriété Industrielle.

    Pour faire connaître et apprécier ce nouveau mode de traitement, Jacques HENRI, au-delà des exposés, a proposé la fourniture gratuite de Patchs à tester sur des pathologies à choisir par les intéressés à :
    – des Professeurs de Médecine des Hôpitaux de Paris,
    – des responsables d’associations de malades,
    – des chercheurs, piliers et/ou responsables des plus importants laboratoires médicaux français.
    Depuis 2006, sur les douze propositions adressées par écrit, Jacques HENRI a reçu une réponse.
    C’était en 2009, ce professeur responsable du service d’oncologie d’un grand hôpital parisien, trouvait la thérapie vibratoire intéressante. Il projetait d’en faire état dans son prochain livre, mais justifiait son refus de faire un essai en s’abritant derrière le Serment d’Hippocrate. Cela ne devrait choquer personne, sauf à considérer qu’aucune des chimiothérapies prescrites par ce professeur, ne lui permettait de respecter ce même Serment.
    La fourniture gratuite de patchs pour procéder à des essais est toujours d’actualité.
    Jacques HENRI a 75 ans. Même s’il est le mieux placé pour bénéficier de l’utilisation du procédé du VIBRPATCH pour sa propre santé, il est un peu tard pour lui, pour se lancer dans l’industrialisation du procédé et sa commercialisation. D’autres pourront s’en charger au moment opportun.

    L’AVENIR DU VIBRPATCH :
    Pour que le VIBRPATCH devienne une alternative aux solutions médicales actuelles, ou la solution pour toutes les pathologies orphelines, il semble impératif que la Médecine s’en saisisse et procède à des essais avec l’aide du concepteur. Les résultats de ceux-ci devraient être décisifs de l’adoption de ce mode de thérapie.

    Jacques HENRI est ingénieur à la retraite. Sa spécialité :
    Les impacts vibratoires sur les êtres vivants (végétaux compris),
    la déviation et la capture des pollutions électromagnétiques.

  • Thierry dit :

    Très intéressant cette machine. Sachant que chaque organe a une résonance bien précise.

  • D. Ollivier dit :

    Cette machine envoie des courants électriques faibles dans les cellules.

    Il faut savoir que dans les cabinets de kinésithérapie, on utilise depuis longtemps aussi des appareils qui envoient des courants faibles (on parle souvent de « courants carrés », à cause de la forme des progressions de longueurs d’ondes), avec différents programmes, pour stimuler l’activité cellulaire, ou la contraction musculaire, ou comme antalgique.

    Par ailleurs, il y a la thérapie magnétique : c’est très différent, puisque là on envoie des ondes magnétiques (et non pas électriques) pulsées. Par exemple, ça se présente comma un matelas émetteur, sur lequel on va rester 20 ou 30 mn, le temps d’un soin. C’est très efficace pour réduire les oedèmes, et pour la solidité du squelette.
    Là aussi, il faut un mode d’emploi, avec des longueurs d’ondes différentes selon qu’on veut agir en surface ou plus en profondeur dans le corps.

    Au lieu d’apporter une réponse chimique aux problèmes, on y apporte une réponse électro-magnétique ; mais il ne faut surtout pas se tromper de longueur d’onde (de même qu’il ne faut pas se tromper de médicament, quand on donne des pilules chimiques). C’est pourquoi, comme l’a dit un commentateur, il peut être intéressant de s’aider de la radiesthésie, pour être sûr de bien guider les choix à faire.

    Les appareils expérimentés par Lakhovsky, dont certains commentaires ont parlé, semblent répondre à une autre logique : apporter des « longueurs d’ondes multiples », une occasion de résonance multiple harmonieuse.

    Donc, il ne s’agit pas de chercher la longueur d’onde de tel ou tel organe, ou de telle ou telle pathologie, mais plutôt de recréer un bain global d’ondes multiples, selon un très grand nombre de longueurs d’ondes de toutes sortes, et harmonieuses entre elles, un peu comme on les trouve dans la nature, par exemple par temps d’orage, ou dans les émissions que nous envoie le soleil. Dans ce bain global, chaque organisme saura puiser, par résonance aussi, ce qui lui est nécessaire, et cela d’autant plus facilement qu’il s’agit d’ondes harmonieuses, entre elles et avec la nature.

    Bien sûr, ces choses restent confidentielles, parce que pas très à la mode encore ; et puis gare à l’accusation d' »exercice illégal de la médecine » ! Mais petit à petit …

    Tout cela est très bien décrit – et expliqué scientifiquement ! – dans le livre de François Trojani : « Une médecine pour Demain, L’homme Electromagnétique » Ed. Dervy 2008

  • Monique Neuveglise dit :

    Bonjour et merci à vous pour vos articles. Ça fait rêver! Y a t il des personnes en France qui utilisent ce type de machine? Ce serait extraordinaire. Déjà avec la vitamine D, la B12 et des plantes délivrées par mon médecin et les probiotiques, j’ai nettement amélioré mon quotidien.Sans compter le recours à l’homéopathie et à Ho oponopono. Merci encore pour vos articles

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